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Le comptoir des associations – Demande de subvention par les associations rolivaloises

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Les demandes de subvention pour l’exercice 2024 – 2025 se feront du 30 Juin au 30 septembre 2024 inclus.

Un certain nombre de documents à joindre vous sont demandés, pour faciliter votre saisie vous avez la possibilité d’enregistrer le formulaire pour finir de le remplir plus tard. Si vous utilisez cette option il vous sera demandé de fournir un courriel en fin de formulaire (vérifiez votre dossier «SPAM» ou «INDÉSIRABLES» si vous n’avez rien reçu, merci d’avance) !

  • Lors de la première demande, une copie des statuts régulièrement déclarés à la Préfecture doit obligatoirement être jointe au dossier.
  • Pour toute nouvelle demande, la copie des statuts n’est à joindre que s’ils ont été modifiés au cours de l’année.
  • La liste des personnes chargées de l’administration de l’association (composition du conseil, du bureau, …).
  • Un relevé d’identité bancaire ou postal RIB.
  • Votre attestation d’assurance couvrant la responsabilité civile de votre association.
  • Le dernier rapport d’activités.
  • Le procès-verbal de la dernière assemblée générale.
  • Certificat du Commissaire aux comptes si l’association y est soumise.
  • Si le présent dossier n’est pas signé par le représentant légal de l’association, le pouvoir donné par ce dernier au signataire.
  • Le formulaire CERFA 12156*06 (demande de subvention).

Ressources utiles : Attention pour pouvoir utiliser ces fichiers et nous les transmettre en pièce jointe par le formulaire ci-dessous, vous devez télécharger le document (en haut à gauche sélectionner «Fichier» puis «Télécharger») . La version en ligne n’est pas modifiable.

Télécharger le formulaire CERFA 12156*06 (obligatoire)

Le formulaire PDF téléchargeable via service-public.fr est «remplissable». Merci de nous le transmettre pour votre demande de subvention.

Fiche pratique

Mineur délinquant : limitations de liberté avant le prononcé de la sanction

Vérifié le 07/06/2023 - Direction de l'information légale et administrative (Premier ministre)

Vous souhaitez savoir quelles <span class="miseenevidence">mesures</span> peuvent être prises à l'égard d'un <span class="miseenevidence">mineur d'au moins 13 ans soupçonné d'avoir commis un fait interdit par la loi </span>pour <span class="miseenevidence">limiter sa liberté</span> depuis l'enquête jusqu'à son jugement ?

La mise en place de ces mesures <span class="expression">dites de sûreté ou de détention</span> varient selon l'<span class="miseenevidence">âge du mineur</span>.

Leurs objectifs sont de garantir le <span class="miseenevidence">bon déroulement de l'enquête</span> et de s'assurer de sa <span class="miseenevidence">présence à son procès</span>.

Nous vous présentons les informations à connaître.

Le <span class="miseenevidence">juge</span> qui décide de limiter la liberté du mineur doit <span class="miseenevidence">informer le mineur </span>de ses droits durant la procédure.

Ces informations doivent aussi être données à ses <span class="miseenevidence">parents</span> s'ils sont connus ou ses <span class="miseenevidence">représentants légaux</span> (par exemple : tuteur, curateur), au même titre que toutes les décisions prises à l'égard du mineur.

Pour protéger le mineur ou le bon déroulement de l'enquête, le juge peut décider de ne pas transmettre les informations.

Dans ces cas, le mineur peut désigner un adulte pour l'accompagner et recevoir ces informations. Il s'agit de <a href="/services-municipaux/action-sociale/le-comptoir-des-associations-demande-de-subvention-par-les-associations-rolivaloises?xml=F35064">l'adulte approprié</a>. S'il n'en choisit aucun, le magistrat peut lui en désigner un.

Entre 13 et 16 ans, un mineur peut être soumis à une <span class="miseenevidence">série d'obligations et/ou d'interdictions</span>. On parle de <a href="/services-municipaux/action-sociale/le-comptoir-des-associations-demande-de-subvention-par-les-associations-rolivaloises?xml=R53632">contrôle judiciaire</a>.

Les objectifs de cette mesure sont les suivants :

  • Mettre en place un <span class="miseenevidence">suivi contraignant</span> pour le mineur
  • Vérifier sa <span class="miseenevidence">présence dans une aire géographique</span>

Le contrôle judiciaire est mis en place lorsque le mineur risque une peine criminelle ou l'une des peines d'emprisonnement suivantes :

  • Supérieure ou égale à 7 ans
  • Supérieure ou égale à 5 ans, si le mineur a déjà fait l'objet d'une mesure éducative, d'une mesure judiciaire d'investigation éducative, d'une mesure <a href="/services-municipaux/action-sociale/le-comptoir-des-associations-demande-de-subvention-par-les-associations-rolivaloises?xml=R54356">de sûreté</a>, d'une déclaration de culpabilité ou d'une peine prononcée dans le cadre d'une autre procédure et ayant donné lieu à un rapport datant de moins d'un an
  • Supérieure ou égale à 5 ans, si le mineur est poursuivi pour des violences volontaires, une agression sexuelle ou pour un <a href="/services-municipaux/action-sociale/le-comptoir-des-associations-demande-de-subvention-par-les-associations-rolivaloises?xml=R49229">délit</a> commis avec la circonstance aggravante de violences

La série d'obligations et/ou d'interdictions est fixée par un <span class="miseenevidence">juge spécialisé</span> (juge des enfants, juge d'instruction, juge des libertés et de la détention) ou par le <span class="miseenevidence">tribunal pour enfants</span>.

La <a href="/services-municipaux/action-sociale/le-comptoir-des-associations-demande-de-subvention-par-les-associations-rolivaloises?xml=F2902">procédure</a> est la même que pour un majeur.

En plus du mineur concerné et de son avocat, les <span class="miseenevidence">adultes</span> responsables de lui ou choisis pour l'accompagner sont également <span class="miseenevidence">convoqués</span> par le juge. Ils <span class="miseenevidence">doivent</span> être associés à la procédure.

Le juge peut imposer au mineur certaines obligations et/ou interdictions. Notamment :

  • Répondre aux convocations des services éducatifs
  • Informer le juge de tout déplacement au-delà des limites déterminées
  • Interdiction de paraître dans certains lieux
  • Interdiction de rencontrer certaines personnes

En cas de non-respect des obligations qui lui ont été imposées, le mineur peut être placé temporairement en prison adaptée (<a href="/services-municipaux/action-sociale/le-comptoir-des-associations-demande-de-subvention-par-les-associations-rolivaloises?xml=R52093">détention provisoire</a>). Il peut également être placé en centre éducatif fermé, si cette obligation n'a pas déjà été prononcée.

 À noter

un mineur de moins de 16 ans ne peut pas être obligé de rester dans un lieu déterminé (assignation à résidence avec surveillance électronique).

Toutefois, il peut faire l'objet d'une obligation de ne pas s'absenter de son domicile, et ce aux conditions et pour les motifs déterminés par le juge.

Cette obligation de rester chez lui ne peut pas être assortie de la surveillance électronique.

En plus du contrôle judiciaire, le juge peut ajouter une <a href="/services-municipaux/action-sociale/le-comptoir-des-associations-demande-de-subvention-par-les-associations-rolivaloises?xml=F1837">mesure éducative judiciaire provisoire (Mejp)</a>. Il peut notamment ordonner les mesures suivantes :

  • Interdiction de se rendre dans certains lieux
  • Interdiction de rentrer en contact avec les victimes
  • Couvre-feu

La Mejp est exercée jusqu'au jugement du mineur soit sur la culpabilité si elle a été ordonnée lors du <a href="/services-municipaux/action-sociale/le-comptoir-des-associations-demande-de-subvention-par-les-associations-rolivaloises?xml=R53966">défèrement</a>, soit sur la sanction si elle a été ordonnée pendant la période de mise à l'épreuve éducative.

L'emprisonnement d'un mineur doit être <span class="miseenevidence">exceptionnel</span>. Il doit intervenir lorsque les autres mesures ne sont pas suffisantes. Le juge doit ainsi constater que le contrôle de la présence du mineur dans une aire géographique (contrôle judiciaire), ou le placement en centre éducatif fermé sont insuffisants.

Le mineur peut être placé temporairement en prison par :

  • le juge des libertés et de la détention (saisi par le juge des enfants ou le juge d'instruction),
  • le tribunal pour enfants,
  • <span class="miseenevidence">ou</span> le juge des enfants, <span class="miseenevidence">uniquement</span> au cours de la période de mise à l'épreuve éducative.

Le mineur sera emprisonné dans un quartier spécial de la prison (maison d'arrêt ou établissement pénitentiaire spécialisé pour mineurs).

Motifs

Le placement temporaire en prison ne peut être prononcé que dans 2 situations :

  • Le mineur ne respecte pas ses obligations et/ou interdictions (<span class="expression">contrôle judiciaire</span>) qui lui ont été fixées par le juge et le rappel ou l'aggravation de ces obligations ne suffisent pas
  • Le mineur est soupçonné d'un <a href="/services-municipaux/action-sociale/le-comptoir-des-associations-demande-de-subvention-par-les-associations-rolivaloises?xml=R49230">crime</a>

Procédure

Si l'emprisonnement est envisagé, le service éducatif auprès du tribunal (Seat) <span class="miseenevidence">doit</span> être obligatoirement consulté et doit rédiger un rapport approfondi.

Avant de prendre sa décision, le juge étudie le rapport, puis entend au cours d'un débat le procureur de la République, le mineur et son avocat.

Durée de la mesure

Le mineur peut être placé en détention dans l'attente de son jugement, lors de l'enquête et/ou lors de l'instruction.

Si le mineur est placé temporairement en prison avant l'audience sur l'examen de la culpabilité ou l'audience unique, sa durée est limitée à <span class="miseenevidence">1 mois</span>.

Dans le cadre d'une enquête de police ou d'une instruction confiée à un juge, la durée du placement temporaire en prison varie selon la peine encourue :

  • S'il est soupçonné d'un <span class="miseenevidence">délit</span>, le mineur peut, <span class="miseenevidence">en cours d'instruction</span>, être placé emprisonné temporairement en prison :
  • S'il est soupçonné d'un <span class="miseenevidence">crime</span>, le mineur peut, <span class="miseenevidence">en cours d'instruction</span>, être emprisonné temporairement pour une durée de <span class="miseenevidence">6 mois</span> qui peut être prolongée jusuqu'à <span class="miseenevidence">1 an maximum</span>.

À la <span class="miseenevidence">fin de l'instruction</span>, le mineur peut être placé temporairement en prison pour un durée de :

  • <span class="miseenevidence">2 mois</span> avec une prolongation possible jusqu'à <span class="miseenevidence">3 mois</span>, s'il est soupçonné d'un <span class="miseenevidence">délit</span>
  • <span class="miseenevidence">2 mois</span> avec prolongations possibles jusqu'à <span class="miseenevidence">6 mois</span>, s'il est soupçonné d'un <span class="miseenevidence">crime</span>

Le <span class="miseenevidence">juge</span> qui décide de limiter la liberté du mineur doit informer le mineur de ses droits durant la procédure.

Ces informations doivent aussi être données à ses <span class="miseenevidence">parents</span> s'ils sont connus ou à ses <span class="miseenevidence">représentants légaux</span> (par exemple, tuteur, curateur), au même titre que que toutes les décisions prises à l'égard du mineur.

Pour protéger le mineur ou le bon déroulement de l'enquête, le juge peut décider de ne pas transmettre les informations.

Dans ces cas, le mineur peut désigner un adulte pour l'accompagner et recevoir ces informations. Il s'agit de <a href="/services-municipaux/action-sociale/le-comptoir-des-associations-demande-de-subvention-par-les-associations-rolivaloises?xml=F35064">l'adulte approprié</a>. S'il n'en choisit aucun, le magistrat peut lui en désigner un.

À partir de 16 ans, un mineur peut être soumis à une <span class="miseenevidence">série d'obligations et/ou d'interdictions</span>. On parle de <a href="/services-municipaux/action-sociale/le-comptoir-des-associations-demande-de-subvention-par-les-associations-rolivaloises?xml=R53632">contrôle judiciaire</a>.

Les objectifs de cette mesure sont les suivants :

  • Mettre en place un <span class="miseenevidence">suivi contraignant</span> pour le mineur
  • Vérifier sa <span class="miseenevidence">présence dans une aire géographique</span>

Le contrôle judiciaire est mis en place lorsque le mineur risque la prison.

Cette série d'obligation et/ou d'interdictions est fixée par un <span class="miseenevidence">juge spécialisé </span>(le juge des enfants, juge d'instruction, juge des libertés et de la détention) ou par le <span class="miseenevidence">tribunal pour enfants</span>.

La <a href="/services-municipaux/action-sociale/le-comptoir-des-associations-demande-de-subvention-par-les-associations-rolivaloises?xml=F2902">procédure</a> est la même que pour un majeur.

En plus du mineur concerné et de son avocat, les <span class="miseenevidence">adultes</span> responsables de lui ou choisis pour l'accompagner sont également <span class="miseenevidence">convoqués</span> par le juge. Ils doivent être <span class="miseenevidence">associés à la procédure</span>.

Le juge peut imposer au mineur certaines obligations et/ou interdictions. Notamment :

  • Répondre aux convocations des services éducatifs
  • Informer le juge de tout déplacement au-delà des limites déterminées
  • Interdiction de paraître dans certains lieux
  • Interdiction de rencontrer certaines personnes

En cas de non-respect des obligations qui lui ont été imposées, le mineur peut être placé temporairement en prison adaptée (<a href="/services-municipaux/action-sociale/le-comptoir-des-associations-demande-de-subvention-par-les-associations-rolivaloises?xml=R52093">détention provisoire</a>). Il peut également être placé en centre éducatif fermé, si cette obligation n'a pas déjà été prononcée.

À partir de 16 ans, un juge spécialisé (<span class="expression">juge des enfants</span>) peut directement obliger le mineur à <span class="miseenevidence">rester dans un lieu déterminé (</span><a href="/services-municipaux/action-sociale/le-comptoir-des-associations-demande-de-subvention-par-les-associations-rolivaloises?xml=F2007">assignation à résidence</a>) avec <span class="miseenevidence">surveillance électronique fixe</span>, s‘il risque <span class="miseenevidence">au moins 3 ans</span> de prison.

La <a href="/services-municipaux/action-sociale/le-comptoir-des-associations-demande-de-subvention-par-les-associations-rolivaloises?xml=F2007">procédure</a> est la même que pour un adulte.

Cette obligation consiste à rester chez soi ou dans une résidence fixée et à ne s'en absenter qu'à certaines conditions et pour certains motifs déterminés par le juge.

En plus du contrôle judiciaire, ou de l'assignation à résidence, le juge peut ajouter une <a href="/services-municipaux/action-sociale/le-comptoir-des-associations-demande-de-subvention-par-les-associations-rolivaloises?xml=F1837">mesure éducative judiciaire provisoire (Mejp)</a>. Il peut notamment ordonner les mesures suivantes :

  • Interdiction de se rendre dans certains lieux
  • Interdiction de rentrer en contact avec les victimes
  • Couvre-feu

La Mejp est exercée jusqu'au jugement du mineur soit sur la culpabilité si elle a été ordonnée lors du <a href="/services-municipaux/action-sociale/le-comptoir-des-associations-demande-de-subvention-par-les-associations-rolivaloises?xml=R53966">défèrement</a>, soit sur la sanction si elle a été ordonnée pendant la période de mise à l'épreuve éducative.

L'emprisonnement d'un mineur <span class="miseenevidence">doit être exceptionnel</span>. Il intervenir lorsque les autres mesures ne sont pas suffisantes. Le juge doit ainsi constater que le contrôle de la présence du mineur dans une aire géographique (contrôle judiciaire), le placement en centre éducatif fermé ou l'obligation de rester dans un lieu déterminé (assignation à résidence) sont insuffisants.

Le mineur peut être placé temporairement en prison (détention provisoire)

  • par le juge des libertés et de la détention (saisi par le juge des enfants ou le juge d'instruction),
  • par le juge des enfants, <span class="miseenevidence">uniquement</span>, au cours de la période de mise à l'épreuve éducative,
  • <span class="miseenevidence">ou</span> par le tribunal pour enfants.

Le mineur sera emprisonné dans un quartier spécial de la prison (maison d'arrêt ou dans un établissement pénitentiaire spécialisé pour mineurs).

Motifs

Le mineur peut être placé temporairement en prison (<span class="expression">détention provisoire</span>) s'il risque l'une des peines suivantes :

  • Peine de prison pour <a href="/services-municipaux/action-sociale/le-comptoir-des-associations-demande-de-subvention-par-les-associations-rolivaloises?xml=R49230">crime</a>
  • Peine de prison égale ou supérieure à 3 ans pour un <a href="/services-municipaux/action-sociale/le-comptoir-des-associations-demande-de-subvention-par-les-associations-rolivaloises?xml=R49229">délit</a>

Le mineur peut également être placé temporairement en prison en cas de non-respect de la série d'obligations et/ou d'interdictions (contrôle judiciaire) ou de l'obligation de rester chez soi, fixée par le juge quelle que soit la peine qu'il risque.

Procédure

Si l'emprisonnement est envisagé, le service éducatif auprès du tribunal (Seat) doit être obligatoirement consulté et doit rédiger un rapport approfondi.

Avant de prendre sa décision, le juge étudie le rapport, puis entend au cours d'un débat le procureur, le mineur et son avocat.

Durée de la mesure

Le mineur peut être placé en détention dans l'attente de son jugement, lors de l'enquête et/ou lors de l'instruction.

Si le mineur est placé temporairement en prison avant l'audience sur l'examen de la culpabilité ou l'audience unique, sa durée est limitée à 1 mois.

Dans le cadre d'une enquête de police ou d'une instruction confiée à un juge, la durée du placement temporaire en prison varie selon la peine encourue :

  • S'il est soupçonné d'un <span class="miseenevidence">délit</span>, le mineur peut, <span class="miseenevidence">en cours d'instruction</span>, être placé temporairement en prison pour une durée de :
  • S'il est soupçonné d'un <span class="miseenevidence">crime</span>, le mineur peut, <span class="miseenevidence">en cours d'instruction</span>, être emprisonné temporairement pour une première durée d'<span class="miseenevidence">1 an maximum</span> qui peut être prolongée de deux périodes de <span class="miseenevidence">6 mois maximum chacune</span>.

À la <span class="miseenevidence">fin de l'instruction</span>, le mineur peut être placé temporairement en prison :

  • s'il est soupçonné d'un <span class="miseenevidence">délit</span>, <span class="miseenevidence">2 mois</span> qui peuvent être prolongés jusqu'à <span class="miseenevidence">4 mois maximum,</span>
  • s'il est soupçonné d'un <span class="miseenevidence">crime</span>, la durée ne pourra pas excéder <span class="miseenevidence">1 an</span>, délai à l'expiration duquel le mineur est censé être présenté devant la cour d'assises.

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Les comptes-rendus de subvention pour l’exercice 2023 – 2024 doivent nous être transmis dans les 6 mois suivant la fin de l’exercice au cours du quel la subvention a été accordée. Il doit obligatoirement être établi, avant toute nouvelle demande. Il doit être accompagné du dernier rapport annuel d’activité et des comptes approuvés du dernier exercice clos.


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Fiche pratique

Mineur délinquant : limitations de liberté avant le prononcé de la sanction

Vérifié le 07/06/2023 - Direction de l'information légale et administrative (Premier ministre)

Vous souhaitez savoir quelles <span class="miseenevidence">mesures</span> peuvent être prises à l'égard d'un <span class="miseenevidence">mineur d'au moins 13 ans soupçonné d'avoir commis un fait interdit par la loi </span>pour <span class="miseenevidence">limiter sa liberté</span> depuis l'enquête jusqu'à son jugement ?

La mise en place de ces mesures <span class="expression">dites de sûreté ou de détention</span> varient selon l'<span class="miseenevidence">âge du mineur</span>.

Leurs objectifs sont de garantir le <span class="miseenevidence">bon déroulement de l'enquête</span> et de s'assurer de sa <span class="miseenevidence">présence à son procès</span>.

Nous vous présentons les informations à connaître.

Le <span class="miseenevidence">juge</span> qui décide de limiter la liberté du mineur doit <span class="miseenevidence">informer le mineur </span>de ses droits durant la procédure.

Ces informations doivent aussi être données à ses <span class="miseenevidence">parents</span> s'ils sont connus ou ses <span class="miseenevidence">représentants légaux</span> (par exemple : tuteur, curateur), au même titre que toutes les décisions prises à l'égard du mineur.

Pour protéger le mineur ou le bon déroulement de l'enquête, le juge peut décider de ne pas transmettre les informations.

Dans ces cas, le mineur peut désigner un adulte pour l'accompagner et recevoir ces informations. Il s'agit de <a href="/services-municipaux/action-sociale/le-comptoir-des-associations-demande-de-subvention-par-les-associations-rolivaloises?xml=F35064">l'adulte approprié</a>. S'il n'en choisit aucun, le magistrat peut lui en désigner un.

Entre 13 et 16 ans, un mineur peut être soumis à une <span class="miseenevidence">série d'obligations et/ou d'interdictions</span>. On parle de <a href="/services-municipaux/action-sociale/le-comptoir-des-associations-demande-de-subvention-par-les-associations-rolivaloises?xml=R53632">contrôle judiciaire</a>.

Les objectifs de cette mesure sont les suivants :

  • Mettre en place un <span class="miseenevidence">suivi contraignant</span> pour le mineur
  • Vérifier sa <span class="miseenevidence">présence dans une aire géographique</span>

Le contrôle judiciaire est mis en place lorsque le mineur risque une peine criminelle ou l'une des peines d'emprisonnement suivantes :

  • Supérieure ou égale à 7 ans
  • Supérieure ou égale à 5 ans, si le mineur a déjà fait l'objet d'une mesure éducative, d'une mesure judiciaire d'investigation éducative, d'une mesure <a href="/services-municipaux/action-sociale/le-comptoir-des-associations-demande-de-subvention-par-les-associations-rolivaloises?xml=R54356">de sûreté</a>, d'une déclaration de culpabilité ou d'une peine prononcée dans le cadre d'une autre procédure et ayant donné lieu à un rapport datant de moins d'un an
  • Supérieure ou égale à 5 ans, si le mineur est poursuivi pour des violences volontaires, une agression sexuelle ou pour un <a href="/services-municipaux/action-sociale/le-comptoir-des-associations-demande-de-subvention-par-les-associations-rolivaloises?xml=R49229">délit</a> commis avec la circonstance aggravante de violences

La série d'obligations et/ou d'interdictions est fixée par un <span class="miseenevidence">juge spécialisé</span> (juge des enfants, juge d'instruction, juge des libertés et de la détention) ou par le <span class="miseenevidence">tribunal pour enfants</span>.

La <a href="/services-municipaux/action-sociale/le-comptoir-des-associations-demande-de-subvention-par-les-associations-rolivaloises?xml=F2902">procédure</a> est la même que pour un majeur.

En plus du mineur concerné et de son avocat, les <span class="miseenevidence">adultes</span> responsables de lui ou choisis pour l'accompagner sont également <span class="miseenevidence">convoqués</span> par le juge. Ils <span class="miseenevidence">doivent</span> être associés à la procédure.

Le juge peut imposer au mineur certaines obligations et/ou interdictions. Notamment :

  • Répondre aux convocations des services éducatifs
  • Informer le juge de tout déplacement au-delà des limites déterminées
  • Interdiction de paraître dans certains lieux
  • Interdiction de rencontrer certaines personnes

En cas de non-respect des obligations qui lui ont été imposées, le mineur peut être placé temporairement en prison adaptée (<a href="/services-municipaux/action-sociale/le-comptoir-des-associations-demande-de-subvention-par-les-associations-rolivaloises?xml=R52093">détention provisoire</a>). Il peut également être placé en centre éducatif fermé, si cette obligation n'a pas déjà été prononcée.

 À noter

un mineur de moins de 16 ans ne peut pas être obligé de rester dans un lieu déterminé (assignation à résidence avec surveillance électronique).

Toutefois, il peut faire l'objet d'une obligation de ne pas s'absenter de son domicile, et ce aux conditions et pour les motifs déterminés par le juge.

Cette obligation de rester chez lui ne peut pas être assortie de la surveillance électronique.

En plus du contrôle judiciaire, le juge peut ajouter une <a href="/services-municipaux/action-sociale/le-comptoir-des-associations-demande-de-subvention-par-les-associations-rolivaloises?xml=F1837">mesure éducative judiciaire provisoire (Mejp)</a>. Il peut notamment ordonner les mesures suivantes :

  • Interdiction de se rendre dans certains lieux
  • Interdiction de rentrer en contact avec les victimes
  • Couvre-feu

La Mejp est exercée jusqu'au jugement du mineur soit sur la culpabilité si elle a été ordonnée lors du <a href="/services-municipaux/action-sociale/le-comptoir-des-associations-demande-de-subvention-par-les-associations-rolivaloises?xml=R53966">défèrement</a>, soit sur la sanction si elle a été ordonnée pendant la période de mise à l'épreuve éducative.

L'emprisonnement d'un mineur doit être <span class="miseenevidence">exceptionnel</span>. Il doit intervenir lorsque les autres mesures ne sont pas suffisantes. Le juge doit ainsi constater que le contrôle de la présence du mineur dans une aire géographique (contrôle judiciaire), ou le placement en centre éducatif fermé sont insuffisants.

Le mineur peut être placé temporairement en prison par :

  • le juge des libertés et de la détention (saisi par le juge des enfants ou le juge d'instruction),
  • le tribunal pour enfants,
  • <span class="miseenevidence">ou</span> le juge des enfants, <span class="miseenevidence">uniquement</span> au cours de la période de mise à l'épreuve éducative.

Le mineur sera emprisonné dans un quartier spécial de la prison (maison d'arrêt ou établissement pénitentiaire spécialisé pour mineurs).

Motifs

Le placement temporaire en prison ne peut être prononcé que dans 2 situations :

  • Le mineur ne respecte pas ses obligations et/ou interdictions (<span class="expression">contrôle judiciaire</span>) qui lui ont été fixées par le juge et le rappel ou l'aggravation de ces obligations ne suffisent pas
  • Le mineur est soupçonné d'un <a href="/services-municipaux/action-sociale/le-comptoir-des-associations-demande-de-subvention-par-les-associations-rolivaloises?xml=R49230">crime</a>

Procédure

Si l'emprisonnement est envisagé, le service éducatif auprès du tribunal (Seat) <span class="miseenevidence">doit</span> être obligatoirement consulté et doit rédiger un rapport approfondi.

Avant de prendre sa décision, le juge étudie le rapport, puis entend au cours d'un débat le procureur de la République, le mineur et son avocat.

Durée de la mesure

Le mineur peut être placé en détention dans l'attente de son jugement, lors de l'enquête et/ou lors de l'instruction.

Si le mineur est placé temporairement en prison avant l'audience sur l'examen de la culpabilité ou l'audience unique, sa durée est limitée à <span class="miseenevidence">1 mois</span>.

Dans le cadre d'une enquête de police ou d'une instruction confiée à un juge, la durée du placement temporaire en prison varie selon la peine encourue :

  • S'il est soupçonné d'un <span class="miseenevidence">délit</span>, le mineur peut, <span class="miseenevidence">en cours d'instruction</span>, être placé emprisonné temporairement en prison :
  • S'il est soupçonné d'un <span class="miseenevidence">crime</span>, le mineur peut, <span class="miseenevidence">en cours d'instruction</span>, être emprisonné temporairement pour une durée de <span class="miseenevidence">6 mois</span> qui peut être prolongée jusuqu'à <span class="miseenevidence">1 an maximum</span>.

À la <span class="miseenevidence">fin de l'instruction</span>, le mineur peut être placé temporairement en prison pour un durée de :

  • <span class="miseenevidence">2 mois</span> avec une prolongation possible jusqu'à <span class="miseenevidence">3 mois</span>, s'il est soupçonné d'un <span class="miseenevidence">délit</span>
  • <span class="miseenevidence">2 mois</span> avec prolongations possibles jusqu'à <span class="miseenevidence">6 mois</span>, s'il est soupçonné d'un <span class="miseenevidence">crime</span>

Le <span class="miseenevidence">juge</span> qui décide de limiter la liberté du mineur doit informer le mineur de ses droits durant la procédure.

Ces informations doivent aussi être données à ses <span class="miseenevidence">parents</span> s'ils sont connus ou à ses <span class="miseenevidence">représentants légaux</span> (par exemple, tuteur, curateur), au même titre que que toutes les décisions prises à l'égard du mineur.

Pour protéger le mineur ou le bon déroulement de l'enquête, le juge peut décider de ne pas transmettre les informations.

Dans ces cas, le mineur peut désigner un adulte pour l'accompagner et recevoir ces informations. Il s'agit de <a href="/services-municipaux/action-sociale/le-comptoir-des-associations-demande-de-subvention-par-les-associations-rolivaloises?xml=F35064">l'adulte approprié</a>. S'il n'en choisit aucun, le magistrat peut lui en désigner un.

À partir de 16 ans, un mineur peut être soumis à une <span class="miseenevidence">série d'obligations et/ou d'interdictions</span>. On parle de <a href="/services-municipaux/action-sociale/le-comptoir-des-associations-demande-de-subvention-par-les-associations-rolivaloises?xml=R53632">contrôle judiciaire</a>.

Les objectifs de cette mesure sont les suivants :

  • Mettre en place un <span class="miseenevidence">suivi contraignant</span> pour le mineur
  • Vérifier sa <span class="miseenevidence">présence dans une aire géographique</span>

Le contrôle judiciaire est mis en place lorsque le mineur risque la prison.

Cette série d'obligation et/ou d'interdictions est fixée par un <span class="miseenevidence">juge spécialisé </span>(le juge des enfants, juge d'instruction, juge des libertés et de la détention) ou par le <span class="miseenevidence">tribunal pour enfants</span>.

La <a href="/services-municipaux/action-sociale/le-comptoir-des-associations-demande-de-subvention-par-les-associations-rolivaloises?xml=F2902">procédure</a> est la même que pour un majeur.

En plus du mineur concerné et de son avocat, les <span class="miseenevidence">adultes</span> responsables de lui ou choisis pour l'accompagner sont également <span class="miseenevidence">convoqués</span> par le juge. Ils doivent être <span class="miseenevidence">associés à la procédure</span>.

Le juge peut imposer au mineur certaines obligations et/ou interdictions. Notamment :

  • Répondre aux convocations des services éducatifs
  • Informer le juge de tout déplacement au-delà des limites déterminées
  • Interdiction de paraître dans certains lieux
  • Interdiction de rencontrer certaines personnes

En cas de non-respect des obligations qui lui ont été imposées, le mineur peut être placé temporairement en prison adaptée (<a href="/services-municipaux/action-sociale/le-comptoir-des-associations-demande-de-subvention-par-les-associations-rolivaloises?xml=R52093">détention provisoire</a>). Il peut également être placé en centre éducatif fermé, si cette obligation n'a pas déjà été prononcée.

À partir de 16 ans, un juge spécialisé (<span class="expression">juge des enfants</span>) peut directement obliger le mineur à <span class="miseenevidence">rester dans un lieu déterminé (</span><a href="/services-municipaux/action-sociale/le-comptoir-des-associations-demande-de-subvention-par-les-associations-rolivaloises?xml=F2007">assignation à résidence</a>) avec <span class="miseenevidence">surveillance électronique fixe</span>, s‘il risque <span class="miseenevidence">au moins 3 ans</span> de prison.

La <a href="/services-municipaux/action-sociale/le-comptoir-des-associations-demande-de-subvention-par-les-associations-rolivaloises?xml=F2007">procédure</a> est la même que pour un adulte.

Cette obligation consiste à rester chez soi ou dans une résidence fixée et à ne s'en absenter qu'à certaines conditions et pour certains motifs déterminés par le juge.

En plus du contrôle judiciaire, ou de l'assignation à résidence, le juge peut ajouter une <a href="/services-municipaux/action-sociale/le-comptoir-des-associations-demande-de-subvention-par-les-associations-rolivaloises?xml=F1837">mesure éducative judiciaire provisoire (Mejp)</a>. Il peut notamment ordonner les mesures suivantes :

  • Interdiction de se rendre dans certains lieux
  • Interdiction de rentrer en contact avec les victimes
  • Couvre-feu

La Mejp est exercée jusqu'au jugement du mineur soit sur la culpabilité si elle a été ordonnée lors du <a href="/services-municipaux/action-sociale/le-comptoir-des-associations-demande-de-subvention-par-les-associations-rolivaloises?xml=R53966">défèrement</a>, soit sur la sanction si elle a été ordonnée pendant la période de mise à l'épreuve éducative.

L'emprisonnement d'un mineur <span class="miseenevidence">doit être exceptionnel</span>. Il intervenir lorsque les autres mesures ne sont pas suffisantes. Le juge doit ainsi constater que le contrôle de la présence du mineur dans une aire géographique (contrôle judiciaire), le placement en centre éducatif fermé ou l'obligation de rester dans un lieu déterminé (assignation à résidence) sont insuffisants.

Le mineur peut être placé temporairement en prison (détention provisoire)

  • par le juge des libertés et de la détention (saisi par le juge des enfants ou le juge d'instruction),
  • par le juge des enfants, <span class="miseenevidence">uniquement</span>, au cours de la période de mise à l'épreuve éducative,
  • <span class="miseenevidence">ou</span> par le tribunal pour enfants.

Le mineur sera emprisonné dans un quartier spécial de la prison (maison d'arrêt ou dans un établissement pénitentiaire spécialisé pour mineurs).

Motifs

Le mineur peut être placé temporairement en prison (<span class="expression">détention provisoire</span>) s'il risque l'une des peines suivantes :

  • Peine de prison pour <a href="/services-municipaux/action-sociale/le-comptoir-des-associations-demande-de-subvention-par-les-associations-rolivaloises?xml=R49230">crime</a>
  • Peine de prison égale ou supérieure à 3 ans pour un <a href="/services-municipaux/action-sociale/le-comptoir-des-associations-demande-de-subvention-par-les-associations-rolivaloises?xml=R49229">délit</a>

Le mineur peut également être placé temporairement en prison en cas de non-respect de la série d'obligations et/ou d'interdictions (contrôle judiciaire) ou de l'obligation de rester chez soi, fixée par le juge quelle que soit la peine qu'il risque.

Procédure

Si l'emprisonnement est envisagé, le service éducatif auprès du tribunal (Seat) doit être obligatoirement consulté et doit rédiger un rapport approfondi.

Avant de prendre sa décision, le juge étudie le rapport, puis entend au cours d'un débat le procureur, le mineur et son avocat.

Durée de la mesure

Le mineur peut être placé en détention dans l'attente de son jugement, lors de l'enquête et/ou lors de l'instruction.

Si le mineur est placé temporairement en prison avant l'audience sur l'examen de la culpabilité ou l'audience unique, sa durée est limitée à 1 mois.

Dans le cadre d'une enquête de police ou d'une instruction confiée à un juge, la durée du placement temporaire en prison varie selon la peine encourue :

  • S'il est soupçonné d'un <span class="miseenevidence">délit</span>, le mineur peut, <span class="miseenevidence">en cours d'instruction</span>, être placé temporairement en prison pour une durée de :
  • S'il est soupçonné d'un <span class="miseenevidence">crime</span>, le mineur peut, <span class="miseenevidence">en cours d'instruction</span>, être emprisonné temporairement pour une première durée d'<span class="miseenevidence">1 an maximum</span> qui peut être prolongée de deux périodes de <span class="miseenevidence">6 mois maximum chacune</span>.

À la <span class="miseenevidence">fin de l'instruction</span>, le mineur peut être placé temporairement en prison :

  • s'il est soupçonné d'un <span class="miseenevidence">délit</span>, <span class="miseenevidence">2 mois</span> qui peuvent être prolongés jusqu'à <span class="miseenevidence">4 mois maximum,</span>
  • s'il est soupçonné d'un <span class="miseenevidence">crime</span>, la durée ne pourra pas excéder <span class="miseenevidence">1 an</span>, délai à l'expiration duquel le mineur est censé être présenté devant la cour d'assises.

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    Ensuite, une demande de subvention doit porter sur un projet d'intérêt général porté par votre association, ou encore une action de formation de vos bénévoles.

    A ce titre, les associations à caractère purement cultuel, comme les associations de loi 1905, ne peuvent, par exemple, pas bénéficier de subventions publiques.

    Depuis 2009, toutes les associations (de type loi 1901) créées ou ayant déclaré un changement de situation disposent d'un numéro RNA.

    Pour toute subvention de plus de 23 000€, une convention de subvention devra toutefois être signée entre votre association et la Ville de Val-de-Reuil. Celle-ci précise l'objet de ce financement, son montant, ses conditions de versement et d'utilisation. Évidemment, vous devrez systématiquement justifier de l’aide obtenue via un compte-rendu financier de subvention.

    Si l’aide publique dépasse les 153 000€, il vous faudra également établir des comptes annuels et les publier dans le Journal Officiel des Associations et Fondations d’Entreprise (le fameux "JOAFE").

    Vos démarches en ligne et vos services municipaux

    Les pages sont classées par ordre des mises à jour les plus récentes. Mode d’emploi : Utilisez la barre de recherche pour retrouver une démarche ou un service municipal, utilisez les catégories pour une thématique, cliquez sur les numéros de page si vous désirez connaître en détail les services et démarches à votre écoute.

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